Sébastien (TSI : 2003-2006)

Lycée de la Communication (Metz), Bac STI-GE – INSA – Ingénieur Génie Civil

 J’ai été étudiant en TSI de 2003 à 2006.

J’ai fait un BAC STI Génie Electronique au lycée de la Communication  à Metz.
Aujourd’hui je travaille comme ingénieur en Génie Civil (service V.R.D.) pour la ville de Moulins dans l’Allier.

«  Avec le recul, je garde un très bon souvenir de ces années de prépa et je les considère comme des années très enrichissantes malgré le fait qu’elles demandent beaucoup d’investissement. La charge de travail est importante entre les cours, les colles et les devoirs mais le jeu en vaut la chandelle.

Après 3 années de TSI j’ai intégré l’INSA de Strasbourg en spécialité Génie Civil, où j’ai choisi l’option Aménagement du Territoire et Environnement. Orientée vers les travaux publics, cette formation m’a permis d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à la conduite de projets d’infrastructures de transport (routes, ponts, tunnels, …), de la conception et leur dimensionnement jusqu’à l’exécution des travaux.
Mes années d’école d’ingénieur m’ont aussi permis de réaliser quelques rêves comme séjourner plusieurs mois au Canada pour mon projet de fin d’étude et brûler les planches dans la troupe de théâtre de l’école.

Depuis mars 2011, je travaille comme ingénieur VRD (Voirie et réseaux divers) pour la ville de Moulins dans l’Allier. J’ai en charge la surveillance des travaux de rénovation ainsi que l’étude et la mise en place de nouveaux projets d’aménagement urbain. »

Valérian (TSI : 2004-2006)

Lycée de la Communication (Metz), Bac STI-GE – ENS Cachan

 

J’ai intégré la prépa TSI en septembre 2004, après un bac STI Génie électronique obtenu au lycée de la Communication.

5 ans après avoir quitté la prépa, j’en garde d’excellents souvenirs et suis certain que ces deux années au rythme certes soutenu ont été un « investissement » dont j’ai profité par la suite.
Pendant deux ans, il est vrai qu’il faut savoir se concentrer pleinement sur les études (et parfois mettre quelques loisirs de côté), mais cela se fait naturellement car l’aventure est la même pour toute la promotion. De plus, les concours et les écoles accessibles sont une motivation forte !

Ce qui m’a marqué, c’est la quantité mais surtout la qualité des cours. Aussi bien les matières scientifiques que technologiques sont enseignées, avec de nombreux TD et TP, le tout avec une rigueur particulière. Les Khôlles sont aussi l’occasion de réellement progresser et combler ses lacunes, car il s’agit presque d’un cours particulier. Une chose est sure : il faut aimer étudier les sciences mais si tel est le cas, on ne peut être que ravis.
En sortant de prépa, on dispose réellement d’un solide bagage pour se lancer dans des études d’ingénieur ou de scientifique, c’est pour cela que je considère ces deux années comme un investissement.

Après ces deux années, j’ai passé les concours, avec le sentiment d’y avoir été préparé dans les meilleures conditions.

J’ai intégré l’ENS Cachan, une école un peu particulière car il ne s’agit pas d’une école d’ingénieur : on y devient fonctionnaire (rémunéré environ 1350€/mois) pendant 4 ans.

Cette école forme aux métiers de l’enseignement et de la recherche, suivant un parcours proche de l’université (licence, master) avec la particularité de pouvoir préparer pendant un an l’agrégation. Un diplôme est décerné (pas ingénieur) et est reconnu dans le monde scientifique et de plus en plus dans l’industrie.

J’ai rejoins le département Électronique, Électrotechnique et Automatique et ai obtenu l’agrégation de Génie Électrique. Le parcours offre beaucoup de modularité (le choix du master est relativement libre par exemple) ce qui permet de se spécialiser dans la voie de son choix. Dans mon cas, il s’agit de l’instrumentation en physique. L’ENS est certes une école difficile à obtenir (~5 places pour les TSI) mais offre des conditions de travail exceptionnelles et des débouchés immenses (enseignement, recherche, industrie).

Après l’agrégation, pendant une année de césure, j’ai été ingénieur dans une jeune start-up qui conçoit et développe des capteurs magnétiques novateurs. Je suis aussi devenu Khôlleur en prépa TSI (à Cachan) pendant deux ans (en plus de mes études – de mon travail).

Aujourd’hui, je suis doctorant en physique médicale à l’université de Lyon : j’enseigne dans une école d’ingénieur (Polytech’Lyon) et mon travail de recherche concerne une méthode novatrice de soigner les cancers : la hadronthérapie. Après ma thèse, je pourrai devenir enseignant chercheur à l’université.

Maxime (TSI : 2004-2006)

Lycée Loritz (Nancy), Bac STI-GE – ENSEIRB – Thales Communications

Après un bac STI genie électronique au lycée Loritz et beaucoup d’hésitations, j’ai intégré la prépa TSI en 2004. La prépa même si elle est difficile surtout en spé m’a permis d’apprendre des méthodes de travail et surtout m’habituer à un rythme d’apprentissage rapide.

J’ai ensuite été admis à l’ENSEIRB dans le département télécommunications. Je n’ai pas ressenti une différence de niveau avec les personnes issues d’autres prépas. Nos compétences théoriques sont légèrement moins bonnes mais par contre il est plus facile de faire la différence dans les domaines pratiques.

J’ai ensuite rapidement été embauché dans une SSII grâce à mon stage de fin d’étude. Aujourd’hui je travaille chez Thales Communications en tant que ingénieur réseaux. Au quotidien, je m’occupe de définir des architectures réseaux et de les valider pour répondre aux nouveaux besoins des clients. J’apporte aussi un support et des conseils aux autres entités de l’entreprise. Je participe également au management technique d’une petite équipe.